Johanne Gili
Olivier Boudrand
Flore Marvaux
Bastien Lacoste
Jaime Flores Caceres
Bérangère Roussel
Julie Bossard
Sabrina Pennecchiatti
Bénédicte Hoolwoote
Nicolas Vuillier
Yoann Cottet
Julia Dhiel
Suzane Brun
Sarah Letouzey
Sarah Dureuil
Sofia Ramos
Amora Doris
Guillaume Lecamus
Sophie Weiss
Johanne Gili
Le temps passe ! La Fine Compagnie a traversé pas mal d'expériences avec pas mal de gens.
Le schéma ci-dessus est encore incomplet - en voie de finalisation...
Johanne Gili
Elle se forme (et se déforme) chaque jour davantage en explorant divers terrains ; théâtre, rue et salle, marionnettes, audiovisuel, en même temps qu’elle s’aventure sur différents fronts de création ; conception, écriture, construction, jeu et mise en scène. Elle cofonde La Fine Compagnie en 2004 qu’elle conçoit aujourd’hui comme un outil de recherches au service d’un collectif. Alternant création de spectacles et actions in situ (écoles, conservatoire, LEP, foyers,...), elle navigue entre des formes aux esthétiques et aux genre variés et s’attache à y pétrir le rapport spectaculaire/réel.
Bastien Lacoste
Il étudie le violon classique au conservatoire avant de s’épanouir dans l’improvisation musicale. Au conservatoire toujours, il étudie la musique acousmatique, l’écriture harmonique et le chant lyrique. Il se forme seul au trombone, au cornet à piston et au theremin. Il compose des musiques de spectacles pour la Cie un d’essence, la Cie Plume la poule... Son expérience de la scène au sein de plusieurs formations - Warzim boule de feu (rock), El Gafla (musique algero-populaire), Leviathan gipsy band, Anglo Dinelo (jazz manouche) le mène en toute tranquillité vers le jeu théâtral, notamment en théâtre de rue au sein de la cie par has’art, de la Cie Méliadès et de La Fine Compagnie. Pour cette dernière en collaboration avec la compagnie Les estropiés, il compose la bande-originale de cinq spectacles ombre dont la symphonie de Mangeront-ils ? Par ailleurs, il intervient dans les hopitaux avec l’association Tournesol et enseigne le violon et le solfège. Depuis 2015, il joue avec l’orchestre tango La Grossa Typica et collabore régulièrement avec le Chimera Orchestra.
Flore Marvaux
Ses études en communication et Arts du spectacle la conduisent finalement à la lumière. Elle s’initie à partir de 2005 à la régie d’accueil (à Anis Gras et au Théâtre Jean Vilar) ainsi qu’à la régie de tournée. Depuis 2006, elle réalise les créations lumière de nombreuses compagnies dont Ascorbic, les Anges Mi-chus, La cie du nouveau jour, Gilbert Peyre, Le grand colossal théâtre, Liria, Manifeste rien, Méliadès, Les petits Zefs, La querelle, La tête dans le sac, métro mouvance... Elle rejoint Les Estropiés et La Fine Companie en 2008 pour la création lumière de Mordicus puis celle des 2 époques de la prunelle du TêTard : Cameroun 56 et 87 printemps, elle récidive sur Cailloux en 2013 et Mangeront-ils ? en 2015.
Depuis trois ans, elle développe ses projets d’installations plastiques.
Olivier Boudrand
Comédien polymorphe (chanteur, danseur, échassier, ombriste, présentateur…) d’origine Franco-Argentine, il grandit entre Paris, Londres, Buenos Aires et New York. Il débute sa carrière de comédien par 4 ans d’apprentissage à l’Ecole Claude Mathieu avant de se frotter et se fabriquer une personnalité unique dans divers domaines : Chant (D.Bailly , A. Manietti à la Manufacture des chansons…), Danse (Modern Jazz avec la Cie Amadéo, Danse Contemporaine avec I. Iatridès), Théâtre classique (JL. Benoit au NTA, L. Fréchuret au CDN de Sartrouville…), Théâtre contemporain (H.P Cloos, M.Fau…), Théâtre de rue (Cie Acidu, Progéniture…), Image (P.Calvario…) ou Ombre et Marionnettes. En plus de 10 années il ainsi pu se doter de tous les moyens du monde pour monter sur scène (ou pas) et exprimer son plaisir de jouer : Théâtre classique, contemporain ou de recherche (pour la Fox Compagnie, Manifeste Rien, La tête ailleurs etc…) ; Comédies musicales ( La guinguette a rouvert ses volets de D.Bailly –nominé aux molières 2003; Le petit bal du samedi soir C.Dupuydenus ; La ballerine et le soldat de plomb P.Prévost etc…), Théâtre de rue (Compagnie Acidu, Progéniture, La chaise à porteur…), Opéra (Llanto por IS Mejias Musica13…), Théâtre de marionnettes (Antti Puhaara mes A.Hubeau pour Musica13…), Radio (Fictions radiophoniques pour Radio France), Cirque (Monsieur Loyal aux écuries de Chantilly…), Télé et Cinéma (V.Herpe, S.Coppola, Fictions France 3, A.Bouche, P.Calvario…). Et ce n’est pas fini.
Suzane Brun
Photographe auteure en résidence à la Villa Mais d’Ici à Aubervilliers, Suzane Brun est investie dans la vie associative d’Aubervilliers et plus particulièrement le Quartier Villette Quatre-chemins. Une partie de sa recherche photographique a comme objet le territoire géographique de cette ville. Parallèlement, elle aborde très régulièrement la thématique du portrait dans son travail, en studio ou en extérieur.
Fondatrice de l’association Achromatik, structure dédiée à la photographie égale-ment en résidence à la Villa Mais d’Ici, elle met en place et intervient sur des ateliers photos desti-nés aux enfants (ateliers sténopés).
Sarah Letouzey
Plasticienne, post-diplômée de l’école des Arts décoratifs de Paris, Sarah Letouzey décline son art sous différents angles. Constructrice et manipulatrice de marionnettes géantes au sein de la Cie Les Grandes Personnes, auteure de livres jeune public et de différents carnets de voyage, illustratrice pendant plusieurs années pour la revue Terre Sauvage, elle poursuit ses travaux dans différents pays et sur des thèmes très variés. Elle est également auto-éditrice de fresques imprimées, «croqueuse» de répétitions ou bien encore collaboratrice polyvalente auprès de diverses compagnies (décors, scénographie, accessoires, marionnettes et même parfois jeu). Depuis quelques années, elle développe un projet plus personnel avec le Chimera Orchestra au sein la cie On change tout demain. En trois ans, le premier spectacle a déjà tourné un peu partout dans le monde (France, Europe de l’Est, Amérique du sud, Asie...). Son travail lui a valu de nombreux prix (prix du public en 2003 ; prix MSF en 2012 à la biennale du Carnet de Voyages... )
Sophie Weiss
Formée au théâtre, à la musique, au cirque, à la marionnette, puis au mime à l’école Marcel Marceau. Elle crée à sa sortie “La Girandole”, avec Gyöngyi Biro. Elle rejoint ensuite le Cirque Bidon, cirque itinérant, dans lequel elle s’intègre comme clown, mime et accordéoniste. Elle joue dans différentes compagnies dont la Cie Ned elko Grujic, avec la Cie Philippe Genty, la Cie Tout Fou to Fly, puis avec la Cie Charles Tordjman dans plusieurs créations théâtrales. En 2005, elle fonde la Cie L’Optimiste au sein de la quelle elle créé les D’moiselles” (spectacle musical), avec Garance Duarte, (théâtre et marionnette) et “Puzzle” (théâtre et marionnette) avec Carlos Nogaledo.
Parallèlement, elle intervient pendant une dizaine d’années auprès de jeunes polyhandicapés comme clown. Plus récemment, elle participe à la mise en scène de “Ainsi fût-il, avec de la Cie Coatimundi et tourne comme marionnettiste avec la Cie Le Clan des Songes, dans le spectacle“Bella”.
Amora Doris
Après des études de graphisme et d’illustration (Académie Charpentier et EMSAT) elle partage son activité professionnelle entre le spectacle, le cinéma, l’enseigne et la décoration. En 2011, elle rejoint l’équipe des Grandes personnes, pour son amour partagé du papier et du carton, ses matériaux de prédilection, qu’elle aime à travailler dans toutes leurs états, pliage, mécanisme papier, découpage, collage, papier mâché, patronage... Elle crée des bas reliefs anamorphosés en papier mâché qu’elle expose lors de Biennales d’art contemporain et d’expositions collectives.
Julie Bossard
Elle a étudié les Arts Appliqués, le Design et l’aménagement d’espaces à l’IDAE à Bordeaux en 2003 puis le décor de spectacle à l’INFA à Nogent sur Marne en 2005. Elle débute en tant que plasticienne avec la Cie Méliadès, compagnie de spectacle vivant et des arts de la rue, dont les spécialités sont les installations d’espaces et le théâtre d’objet. Elle travaille depuis 2006 à La Villa Mais d’Ici. Elle travaille ainsi avec plusieurs compagnies résidentes de cette même friche : La Fine compagnie, Les Anges Mi-Chus, les Allumeurs, les Grandes Personnes, compagnie Liria Theater. Parallèlement, elle intervient régulièrement en tant qu’intervenante dans des ateliers arts plastiques. En 2010, elle décide de se spécialiser en suivant une formation de masques et prothèses pour la scène au Centre de Formation Professionnel aux Techniques du Spectacle à Bagnolet qu’elle mettra en pratique en réalisant différentes créations de masques et prothèses pour les compagnies Varsorio, Méliadès, Troisième Génération ainsi que pour le Lycée SURGER, école d’audiovisuelle à Saint Denis et POINT FIXE, école de théâtre au centre de danse du Marais à Paris.
Sarah Dureuil
Elle se forme de stages en collaborations, (théâtre du soleil, Melting Pat, La Fine Cie...) avant de suivre un DMA costume. Elle travaille ensuite en tant qu’assistante costumes pour les opéras de Bordeaux et d’Aix-en-Provence, puis elle fabrique à plusieurs reprises des masques pour les opéras de Genève, Nancy et Lille. Parallèlement elle intervient sur des courts métrages et pour des compagnies : Pasarela (danse), Les herbes folles, l’atelier Mazette. Elle rejoint Les Estropiés en 2007 pour Mordicus et intervient sur La prunelle du TêTard aux costumes, aux accessoires et sur le décor. Elle continue de travailler les matières aussi bien pour des costumes que des masques ou des perruques-prothèses, notamment en collaboration avec Cécile Kretschmar.
Nicolas Vuillier
Il travaille depuis plusieurs années à la fabrication d’automates et de machineries. Son univers inventif et très personnel lui permet de créer des objets ou personnages insolites. Il fonde en 2006 la compagnie Les petits Zefs avec laquelle il monte des petites ou grandes formes, principalement des spectacles de rue. En 2007, il monte Vogue à l'Ame, puis l’oiseau électrique en 2009 avant de concevoir, en 2013, Notre petit royaume dont il réalise la scénographie. Il travaille aussi avec d'autres compagnies telles que Méliadès, les Grandes Personnes, La Tribu collectif Poussière, Les Anges Mi-Chus. Dernièrement, il conçoit la scénographie lumineuse des marionnettes géantes des Grandes Personnes dans le cadre de la Fête des Lumières à Lyon (2013).
Bénédicte Holvoote
Lors de ses Etudes Théâtrales à Paris III elle rencontre François Lazaro et la forme marionnettique. Elle participe alors aux « Labos » et travaille pour le Clastic Théâtre, notamment lors des opérations Pan ! Sur le Sida jusqu’en 2009. En 1999, elle crée la Cie Matricule 2, joue et met en scène des textes de Calaferte. Entre 2000 et 2002, elle est élève à la Scuola della Guaratelle, une école créée et dirigée par Bruno Leone à Naples. Elle fonde la Cie Les Estropiés en 2004 et crée Mademoiselle, serveuse d’histoires et de poésies qu’elle joue en France, en Belgique et en Italie. En 2005, le projet Mordicus commence à prendre vie en collaboration avec l’auteur Paul Emond. De petites formes en solo, Mordicus deviendra un spectacle en salle qu’elle orchestrera et qui tournera de 2007 à 2010, l’occasion de développer la compagnie. De 2006 à 2010, elle tourne dans le spectacle Chair de ma Chair, mis en scène et avec Ilka Schönbein, Theater Meschugge. Elle rejoint La Fine Compagnie en 2009 pour reprendre Actions en boîtes. En 2011-2012 : Elle est Marguerite dans la prunelle du TêTard, 87 printemps et collabore avec avec la cie En verre et Contre tout sur le Pays qui rêve de Gilles Auffray. Après Cailloux en 2013 (jeu, mise en scène et construction marionnettes), elle travaille depuis l’été au projet être ici avec La Fine Compagnie et collabore avec Sergio Longobardi, metteur en scène napolitain exilé en France, jouant notamment dans UBU À Pantin.
Yoann Cottet
Depuis 2006, il travaille avec la cie Les Grandes Personnes pour laquelle il réalise en tant que constructeur les carcasses et les mécanismes de marionnettes géantes. Également manipulateur il part régulièrement avec les mêmes jouer et mener des ateliers autour du monde notamment en Afrique (Burkina, Afrique du sud, Rwanda...). Par ailleurs, il a fabriqué des marionnettes et des accessoires pour les compagnies : Collectif la Scène infernale, Méliades, Virevolte ; fait de la construction pour la chorégraphe Aniara Rodado, et réalisé des masques pour les musiciens de Féloche. Faisant du métal sa matière première fétiche, il développe en parallèle sculptures animées et automates, mélant acier, cuivre et tissus, cuirs... Il rejoint Les Estropiés en 2011 sur la prunelle du TêTard, Cameroun 56 et 87 printemps dans lesquels il joue, manipule et construit. Il continue à construire sur les spectacles qui suivent Cailloux et Mangeront-ils ? .
Guillaume Lecamus
Il s’initie au jeu de l’acteur avec Jean-François Dusigne, au masque et au clown (bases Lecoq) avec Annick Laurent, à l’interprétation avec marionnettes avec François Lazaro et à la mise en scène avec Eloi Recoing. Actuellement, il suit les ateliers Butoh de Leone Cats-Baril. Il est le fondateur, metteur en scène et interprète des spectacles de la compagnie Morbus théâtre. Comme metteur en scène, il a également collaboré avec les cies Les Estropiés, Objets sensibles, Caravane K, Le Loup Qui Zozote , La cie de l’Entonnoir en Guyane, Groupe TIM – P.Zuzalla. Comme comédien, il collabore depuis 12 ans avec François Lazaro du Clastic théâtre, joue entre autres, dans les spectacles Turandot ou le congrès des blanchisseurs de B.Brecht, et L’heureux stratagème de Marivaux, cie du Huitième jour, Sur la grand route de Gaston Couté, cie du Loup qui zozote. Il a travaillé avec le théâtre de rue (La Ni Cie) et la danse. Depuis de nombreuses années, il participe à diverses performances, lectures, avec des poètes, des danseurs, des musiciens…
Sabrina Pennecchiatti
Elle se forme dans les domaines du théâtre, du cinéma et de l’audiovisuel. Elle se professionnaliser entre autres, auprès de Carmelo Bene, Bruce Myers, Giorgio Barberio Corsetti, Paolo Rosa, et cofonde le groupe de recherche artistique et le Studio Azzurro, qui s’exprime à travers des installations vidéo, des environnements sensibles et interactifs. Au Centre de Recherche Théâtrale de l’Université La Sapienza de Rome sous la direction de Ferruccio Marotti, elle s’intéresse aux problématiques que soulèvent les archives et la patrimonialisation. Au coeur de son approche du théâtre se trouvent les projets d’éducation populaire menés en collaboration avec La Fine compagnie, installée à Villa Mais d’Ici d’Aubervilliers ainsi qu’avec l’association Afev 93 et la compagnie Les Toupies à Paris. Elle a aussi contribué à des films d’horizons variés destinés au cinéma, à la télévision et au Web, occupant des postes transversaux liés autant à la production qu’à l’éditorial et à l’écriture (notamment à Luna Rossa Cinematografica à Rome). Dans ce domaine, elle s’intéresse au cinéma qui se questionne ou se met en scène ; à l’hybridation des pratiques et des supports.
Jaime Flores Caceres
Jaime Flores Caceres est un violoniste chilien. Il a fait ses études de musique dans son pays natal ainsi qu’en France auprès de la violoniste Noëmi Schindler, à l’École Nationale de Musique de Gennevilliers, où il a obtenu son Diplôme d’Études Musicales à l’unanimité du jury. En tant qu’interprète, il s’est dédié principalement à la diffusion des musiques actuelles et plus spécifiquement du tango, genre dans lequel il s’est produit avec divers groupes au Chili et en France tel que l’orchestre du conservatoire de Gennevilliers et l’Orquesta de Tango de la Maison de l’Argentine à Paris. Très attaché au développement de la musique nouvelle, il a contribué à différents projets tel que l’Ensemble de Musique Contemporaine de l’Universite du Chili, la création de l’opéra « Renca, Paris y Liendres » du compositeur chilien Miguel Farias, et en France avec l’Ensemble Des Possibles et notamment l’Ensemble Aleph.
Bérangère Roussel
C’est à Tahiti, haute comme 3 pommes, sur un rythme de Tamure que Bérangère se trémousse pour la première fois. Puis viennent les rêves de tutus, les années de Conservatoire et enfin la révélation de la danse contemporaine. À sa sortie du CNSM de Paris, Bérangère s’ouvre au théâtre et aux techniques de cirque. Elle intègre la Compagnie Les Passagers puis Retouramont, danse et arpente les airs, les murs et les échafaudages dans différents endroits du monde. Au cours d’un voyage en Inde, elle se forme à enseigner le yoga qui devient partie intégrante de sa vie de danseuse. En 2009, elle entre dans l’aventure de Danse en Seine et crée plusieurs pièces chorégraphiques pour l’association (dont Dans le vent, extrait ci-contre). Depuis 2013, elle travaille régulièrement avec la Compagnie Point Virgule dirigée par Claire Jenny, membre référent en danse à l’école. En 2016, elle rejoint l’équipe de création de Mass B, un spectacle de Béatrice Massin, toujours en tournée.
Elle poursuit sa quête dansée sur le sol et dans les airs, en tant qu’interprète et chorégraphe.
Julia Dhiel
Arts de rue, cirque, confection et manipulation de marionnettes sont ses activités professionnelles depuis une quinzaine d'années. Trapéziste, voltigeuse, acrobate au sol et aérienne, elle est arrivée du Brésil pour jouer dans le cirque « cric - cric » en Espagne, puis elle est venue en France pour suivre les cours de Jean Palacy en trapèze volant.Travaillant avec diverses compagnies, elle crée également ses propres numéros et le spectacle La petite bout que des horreurs au sein de la cie Même pas vrai.
Sofia Ramos
Elle est née au Mexique, à 2000 mètres d’altitude. Elle a traversé l’océan pour découvrir la vie en France, avec le rêve de changer le cours d’un monde qui meurt. Elle a étudié à l’École Urbaine de Sciences Po Paris, où elle s’est intéressée au droit à la ville et à la participation citoyenne. Elle a compris que la réalité est trop complexe pour changer son cours. Elle a accepté la mort tout en gardant le rêve de construire un autre monde.
Elle a retrouvé une réelle alternative avec Esquisses, une association qu’elle a co-fondée avec la volonté de créer des espaces de libre expression où chacun découvre sa capacité infinie d’imaginer et d’agir. Aujourd’hui elle a l’opportunité de s’investir, d’apprendre et de continuer cette aventure avec La Fine Compagnie.
Lucile Béroujon
Investie dans le secteur artistique et culturel depuis 2011 au sein de différentes structures (Biennale de Lyon, Maison de la Danse de Lyon, Théâtre Le Colisée de Roubaix, Institut Français du Cambodge), elle obtient en 2015 un double master en Entrepreneuriat social et culturel (Lyon 2) et en Management de l'innovation (IAE Lille). De 2016 à début 2019, elle accompagne la compagnie Frichti Concept en tant qu’administratrice. En lien avec La Villa Mais d’Ici, friche culturelle de proximité à Aubervilliers, elle rencontre La Fine Compagnie, La compagnie Zébuline ainsi que les Anges Mi-Chus qu’elle accompagne depuis 2018 en production, administration, et communication. Elle soutient également la compagnie Kokerboom installée dans le sud de la France.
Emma Tromeur
Arrivée à Paris avec un bac cinéma-audiovisuel en poche en 2013, elle se forme en médiation culturelle (stages à la Terrasse à Nanterre ou bien encore au musée du Louvres à Paris) et en organisation de concert punk tout en menant en parallèle des études en Histoire de l'art et Archéologie à Paris X. Une fois diplômée, elle continue de vouloir soutenir les artistes dans la réalisations de leur projet. Elle se tourne donc vers la Fabrique des Impossible afin d'effectuer un Service Civique Volontaire, c'est là qu'elle trébuche sur La Fine Compagnie. Depuis 2020, elle continue sa transformation en couteau-suisse grâce à son intégration dans la compagnie en tant que régisseuse de production.
Catherine Acevedo
Albertivillarienne depuis l'enfance, elle s'investit dans la création grâce aux dispositifs mis en place par sa ville, des ateliers notamment proposés par les compagnie installées à la Villa Mais d'Ici. En 2016, elle conclut ses études d'arts plastiques à l'Université Paris I Sorbonne et s'essaie, par la suite, à différents métiers de l'artisanat : en passant par l'art floral ou encore le design textile. Elle se porte ensuite volontaire en service civique au sein de la Fine Compagnie, afin de favoriser l'accès à la culture aux citoyens de sa commune. Elle y soutient la communication et la médiation, ce qui l'amène à obtenir en juin 2021, un diplôme spécialisé dans le management de projets culturels.